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Quand vouloir changer l’opinion des autres devient une perte de temps (et ce que la neuroscience en dit)
Dans un monde de plus en plus polarisé, vouloir changer d’avis quelqu’un qui n’est pas prêt à entendre, c’est comme parler à un mur. La neuroscience nous rappelle que ce n’est pas de la mauvaise foi : le cerveau filtre, protège et rationalise pour préserver ses croyances. Comprendre cela, c’est arrêter de s’épuiser à convaincre… et commencer à cultiver l’ouverture qui fait vraiment grandir

phoenixrevolution
17 sept.5 min de lecture
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